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 Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)

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AuteurMessage
Maelle Seegan

MEMBREwe don't need no education
Maelle Seegan





Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)  Empty
MessageSujet: Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)    Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)  Icon_minitimeMer 25 Avr - 18:08

MOMENT OF GLORYprésentation

SEEGAN
Maelle
♧ ELÈVE
« citation »

crédit ♦ Meee, Myself and I *__*
avatar ♦ Mika Nakashima


nom ♦ Seegan (née McWard)
prénom(s) ♦ Maelle Annick Enora
surnom(s) ♦ Melle, Eno (pour les intimes)
date de naissance ♦ 13 décembre 1993
nationalité ♦ Française de naissance et nationalité allemande
métier ♦ Si c’était quelqu’un de confiance qui lui demandait, elle penserait sérieusement à artiste…


style vestimentaire ♦ Ca dépend drôlement ! Maelle cultive un look un peu étrange…certains accessoires trouvent grâce à ses yeux, ainsi, elle arbore parfois des bracelets à piques, un keffieh (foulard en été, écharpe en hiver) ou un béret crânement planté de côté. Ses chaussures sont de gros godillots de cuir caramel, bien monstrueux, sauf quand elle veut être élégante…auquel cas elle donne dans les sandalettes à semelles compensées.
Côté vêtements, c’est souvent un chemisier, le plus souvent dans une matière noble : soie, par exemple, et dans des tons colorés : bordeaux, bleu azur, très éventuellement gris perle. Par-dessus cela, un blouson en cuir, noir parce que voilà quoi, le blouson en hiver et en cuir c’est noir, ou bien en été, rien du tout…si elle porte un gilet, c’est généralement du cachemire ou de l’alpaga. Que celui qui a dit « gosse de riche » au fond de la salle se dénonce !
Enfin, elle est assez favorable aux jupes, au-dessus du genou, sur collants ou bas. Sinon, c’est un pantalon, qui rentre dans les bottines ou les recouvre selon sa largeur, dans toutes les matières sauf le jean, qu’elle a en horreur.
taille ♦ 1m65
corpulence ♦ Une petite brindille…mince limite maigrelette, avec quelques formes (quand même, quoi…) mais effacées, presque un physique d’anorexique légère, à vrai dire. Une poitrine de taille moyenne, en accord avec sa finesse, des cuisses et des mollets fins mais où les muscles saillent.
yeux ♦ Yeux bleus très foncés…en fait, noirs avec une nuance de bleu au soleil.
cheveux ♦ Cheveux auburn sombre, plutôt lisses et volumineux, qu’elle ne porte jamais attaché.

ce qu'il aime ♦ La musique, le dessin, la tranquillité, les chevaux. Elle adore les félins, se blottir dans un coin et regarder un bon film, ou lire un bon livre, apprendre et découvrir. Elle est folle des débats, aussi.
ce qu'il n'aime pas ♦ Tout ce qui concerne les conversations plates et convenues. La façon de faire du système scolaire...un coup à se tirer des balles, on n'avance pas et en plus, il n'y a que des cons dans la classe! Les professeurs qui veulent la faire sortir de la norme...hors-norme, on est en danger, les gars. Quiconque voudrait lui dicter sa conduite ou ses croyances.
orientation sexuelle ♦ En fait, elle ne sait pas trop…elle a eu des aventures de ci, de là, qui la classeraient côté bi. Mais finalement, elle est plus fondamentalement hétéro.
tolérance ♦ Les féministes la rendent dingues avec leur côté militant, les homophobes l’exaspèrent avec leur côté fatiguant, les racistes, elle laisse tomber, mais elle a tout autant horreur de la démagogie populaire et du « bien-pensant » qui consiste à dire que « oooh, faut pas lui en vouloir à ce pauvre garçon, c’est un étranger donc il est bien gentil, hein (parce que si on dit le contraire on va passer pour un sale xénophobe) »…finalement, c’est le genre tolérant, tant qu’on lui fout une paix royale. Avec cette réserve que, si une thèse la botte, elle prendra parti. Et farouchement. Mais elle se refuse à aller militer…elle est plus dans la défense que l’attaque.
tics ♦ En état de stress…elle mordille. Notamment le côté de sa main gauche, la chair juste au-dessus du pouce, ou bien son poignet du même côté, voire un pouce, un index où elle plante ses canines, ou mord franchement dans la longueur. Et ferme ! Il est fréquent qu’elle ait de vraies marques de dents, qui mettent quelques heures à disparaître, sur une main.
Elle est aussi quasi-incapable d’immobilité. Assise, elle croise les jambes et agite le pied libre de façon saccadée, debout, elle marche, pivote, volte…allongée, elle tapote du bout des doigts. Et plus elle est frustrée (par ennui, par exemple), plus elle gigote…
Elle frotte son nez quand elle est intimidée, et se mordille la lèvre inférieure en se concentrant, ou se lèche les lèvres. Enfin, quand la colère monte, un tic nerveux agite la commissure gauche de ses lèvres.

couleur préférée ♦ Bleu-violet, comme un ciel avant l’orage.
animal préféré ♦ Elle hésite entre chat et cheval.
sport ♦ Elle pratique occasionnellement l’équitation, quand elle ne se fait pas mettre à la porte…elle pratique tout aussi occasionnellement l’aïkido, et aime, sinon, nager, skier et faire de la voile.
musique ♦ Un paradoxe…elle aime autant Vivaldi que Iron Maiden, et aussi Hammerfall (mais pas toutes les chansons). La variété lui plaît aussi, par exemple Renaud ou Eddy Mitchell, les musiques d’anime et enfin les chants de type celtique, ou breton.
films ♦ Requiem for a Dream, Le Cercle des Poètes Disparus, Hidalgo, Danse avec les Loups, la série Games of Throne, les vieux Disney.
livres ♦ L’Assassin Royal, le Trône de Fer, tous les livres de Steinbeck (surtout les Raisins de la Colère) et tous ceux de Stephen King (surtout Salem), la Promesse de l’Aube de Romain Gary et les romans de Christian Jacq (en particulier la Pierre de Lumière), Ensembles c’est Tout, le Comte de Monte-Cristo, les Chroniques des Ravens, les Fleurs du Mal, un Roi sans Divertissement…la liste est longue !!
dans sa poche ♦ Les clés de chez elle, un briquet (car elle fume) estampillé « Route du Rhum 2010 », son iPod et les écouteurs intra-auriculaires qui vont avec, le plus souvent emmêlés par ce salopard de lutin des poches, un carnet et un crayon pour les croquis, des chewing-gums, parfois des clopes.
scolarité ♦ En fait…ça dépend. D’abord, ça dépend des profs. Il y a ceux qu’elle ne peut pas voir en peinture et auxquels elle répondra vertement, ceux qui lui foutent la paix et avec lesquels elle se contente de dessiner en fond de classe et d’avoir de bonnes notes, ceux qu’elle aime bien sans le dire, qui ont un peu perçu la sensibilité de la demoiselle derrière sa carapace, et ses capacités, et qui l’aident. Pour eux, elle ferait même l’effort de participer en cours…
Globalement elle a une réputation de fayotte, car elle ne peut pas supporter le bruit. Elle en deviendrait presque violente. De plus, elle n’en fiche pas une rame : fatalement, ça agace la classe ! Enfin, quand un sujet l’intéresse, elle s’agite et gémit sur le thème « putain, quand est ce qu’on va enfin bosser pour de bon ? ». Elle ne refuse pas qu’on copie et cède ses devoirs sans se poser de questions, mais déteste expliquer, et si on lui demande pourquoi répond que c’est parce que « vous n’arriverez pas à comprendre, vu comment j’explique ». Résultat, une réputation d’arrogante.
Enfin, elle a de mauvaises notes. Non pas parce qu’elle ne peut pas…mais parce qu’elle ne veut pas. Certains professeurs observateurs disent même qu’elle freine des quatre fers devant l’obstacle. Elle ne veut pas avancer, elle en a marre de ce moule scolaire, de cet apprentissage débilitant et lourdingue, elle ne veut plus. L’enfant prodige s’est lassé.
Et sa façon de se tenir à l’écart de la classe et de reprendre certains professeurs n’arrange rien.


truc en plus ? ♦ Elle fait un asthme à l’effort léger, quasi-imperceptible sauf en altitude, en piscine, et en cas de stress intense. D’ailleurs, être pressée par le temps, ça la stresse intensément.
Elle est surdouée. Oubliez le petit génie à lunettes ! Ca veut surtout dire qu’elle allie un mode de raisonnement totalement différent (et il est vrai, souvent plus efficace du point de vue scolaire), à une mémoire d’éléphant, une grande habileté avec les mots dès qu’elle est un peu lancée, à l’hypersensibilité, l’hyperperceptivité, l’imagination et l’empathie qui vont avec…chez elle, c’est surtout encombrant, elle ne sait pas trop gérer son côté « zèbre ».


NO SELF ESTEEMcaractère

On pourrait presque dire qu’il y a deux Maelle…
La première est la sale gosse. Impudente, insolente, elle est totalement réfractaire à toute autorité ne montrant pas clairement sa justification et sa logique, bien qu’elle suive parfois un peu le point de vue de Pascal… « les lois sont injustes, mais il est juste qu’elles soient » et se soumette aux règles pour des raisons de tranquilité.
Maelle aime fuguer et errer dans les rues, au désespoir de ses parents, aime débattre et pour cela, se fera peut-être même avocate du diable, fourbira ses arguments en vue de la confrontation finale. Elle a tendance à s’acoquiner avec des gens relativement « hors normes », et pas bêtes s’il vous plaît, avec qui elle pourra parler aussi bien de philosophie que déconner sur les Donjons de Naheulbeuk. Oui, elle a un petit côté geek.
Avec les gens qui l’entourent, ce peut être une vraie saleté…si la conversation de ses acolytes l’ennuie, ils le sauront car elle est capable de bâiller, lancer une série de remarques désobligeantes voire carrément méchantes, retourner les rieurs contre le barbant. Sinon, elle se tait et se met en retrait. Avec les gens qui savent la motiver, elle est métamorphosée. C’est une fille vive, extravertie, et qui défend farouchement ses opinions, capable également d’aller chanter une quelconque bêtise sous les fenêtres de l’Hôtel de Ville, pour rire un peu.
Si vous l’agressez, physiquement ou verbalement, elle montre les dents et riposte, avec violence, sans passer par la gradation habituelle de ces affrontements. Elle tape au plus douloureux, dans les deux cas, tout pour se débarrasser au plus vite de l’adversaire qu’elle sent comme une menace…si il ne lui semble pas dangereux, elle joue le stoïcisme. Ou bien la violence s’il insiste.
Enfin elle fume, elle boit, quelquefois, dans ses moments de déprime et de burn-out, elle couche à droite et à gauche…en se protégeant, elle ne veut pas être emmerdée par une MST…Elle rend dingues ses parents, alors obligés d’aller la chercher au poste, de la ramasser dans des états impossibles, quand elle ne découche pas, ou ne va pas gratter à la porte de Dee comme un chien perdu, ayant fui sa maison suite à une dispute. Elle se détruit consciencieusement, car ce qu’elle fait elle le fait toujours bien. Elle le sait. Elle refuse juste d’admettre qu’elle le sait, et plus encore de réagir. Ca lui va !

Mais certains ont entr’aperçu l’autre versant de la jeune fille. Maelle est sensible aux arts, à la peinture entre autres, à l’écriture et là, ce n’est même plus de la sensibilité, et à la musique. Elle ne compose pas, elle chante comme n’importe qui, mais elle écrit un peu : son imagination est très fertile. Et en parallèle, elle dessine. Les traits et les mots sont ses voies d’expression…elle croque une expression, un sourire, note un bon mot. Son carnet est rempli de phrases, de citations piochées de ci de là…
C’est une fille intelligente et curieuse. De tout…cela allant des cours du lycée à tout ce qu’elle rencontrera dans la rue. Capable d’engager la conversation, comme ça, dans un métro, avec un type, elle sera ravie d’apprendre qu’il bosse dans la métallurgie et de l’écouter parler de son métier. Comme elle sera enchantée d’écouter parler de la culture antique, des dieux norvégiens, ou bien de la division cellulaire et des chromosomes, de l’opération Tempête du Désert, pourquoi pas ? Et comme elle a une mémoire éléphantesque, ça fait d’elle une véritable encyclopédie. Et parfois, une encyclopédie passionnée.
En revanche elle ne supporte pas qu’on dicte sa conduite…notamment dans le cas des religions. Elle se définit comme croyante, mais pas comme membre d’une religion…car leur côté dogmatique l’agace. Elle ne veut pas entendre une chrétienne catholique lui dire « il faut aller à la messe et prier, et c’est comme ça, et pas comme ci ! »…pas plus qu’elle ne l’acceptera de la part d’un quelconque tenant de religion ou de l’autorité.
C’est une amie longue à la détente, plusieurs années, mais une amie dès lors loyale et indéfectible. Revers de la médaille, rien de plus douloureux et impardonnable pour elle qu’une trahison…De ses amis, ses vrais amis, elle accepte toutes les remarques, et presque tous les ordres. Toutes les morales et toutes les questions. Et elle y répond.
Ce qui nous amène au dernier point, une méfiance instinctive et violente envers tout inconnu. Quiconque s’adresse à elle et tente d’en savoir plus sur le plan personnel (sur la métallurgie, c’est pas grave, hein) se verra opposer une rebuffade, jusqu’à avoir atteint un grand niveau de confiance. Et pour ça il faudra une grande patience…car pour Maelle, tout compliment est une moquerie déguisée, toute gentillesse une tentative de manipulation, toute remarque un jugement et une agression.
Et donc, elle se protège. Sa sensibilité exacerbée la pousse à se planquer sous sa carapace de sale gosse…elle le sait, en a conscience sans vouloir se l’avouer, et ne tolère pas qu’on tente de la relancer sur ce sujet. Elle le sait ! Mais elle ne veut pas changer. Bien trop dangereux.


NO BRAVE NEW WORLDavis politique

Déjà, un jeu de rôle, c’est cool, hé !
Pour Maelle, c’est un projet surprenant, mais pour lequel elle est tout à fait partante. Elle est, à vrai dire, passionnée par cette période de l’histoire, la Seconde Guerre Mondiale et tout ce qui l’a entourée, du point de vue social, économique, idéologique…Tout aussi passionnée que par le Premier Empire, et les cultures antiques. Alors, un jeu de rôle sur ce sujet, pensez-vous, elle est partante !
Ce d’autant plus qu’elle adore observer et analyser ses semblables…et notamment voir leurs réactions, leurs opinions…merveilleux terrain d’expérimentation, que ce projet, n’est ce pas ? En revanche, elle ne craint qu’une chose : que le jeu dérape, que le professeur lâche les rênes, et que le projet soit repris à leur compte par d’autres personnes, ayant d’autres buts que simplement pédagogiques.


DEAD MEMORIES IN MY HEARThistoire


C’était en 1990 que ma fille m’a annoncé qu’elle allait épouser un de ses anciens camarades de lycée, un certain Arthur McWard. Oh, entre nous, ça se sentait, ils sortaient ensembles depuis quoi, deux, trois ans ? En tous cas, les études de ces jeunes gens étaient finis, Hélène était chercheuse en physiologie animale, Arthur un architecte qui s’était déjà fait un petit nom, ils gagnaient tous deux leur vie…j’ai donné mon accord, que faire d’autre ? Et le mariage a été somptueux.
Trois ans plus tard, j’avais un peu pris mes distances avec le jeune couple, mais Hélène a tenu à me présenter ma petite-fille. Une petite poupée de trois mois qui braillait, et quand elle ne piaulait pas, posait sur le monde un regard d’une étonnante profondeur. Une gamine nommée Maelle Annick Enora McWard, noms qui plaisaient à ma fille, d’origine bretonne. Oui monsieur, nous sommes une vieille famille bretonne.

Brigitte Matarlo

Journal d’Hélène McWard
5 août 1997
Ma petite fille est extraordinaire ! Oh, ça fait rire Arthur quand je dis ça…mais lui aussi, il est sidéré par la qualité des mots dont elle use, par son vocabulaire, par sa vivacité d’esprit. On a commis l’erreur de la mettre sur un poney récemment…elle me tanne pour faire du cheval. Je crois que je vais la laisser faire, nous avons les moyens et ces animaux, elle semble les aimer, les adorer. Si tu voyais sa tête quand elle leur fait des papouilles.
Elle vient d’entrer en maternelle, je crois qu’elle s’ennuie…je vais lui faire passer un test de QI. On ne sait jamais, un tel ennui chez une gamine de cet âge, c’est presque effrayant.

10 septembre 1997
156. Je retourne et retourne le chiffre sans trop y croire, ma fille a 156 de QI. Une surdouée, et même une surdouée dite THQI, très haut QI. Comment vais-je gérer ça ? Le psychologue dit que ça passe tout seul, que j’aurais juste une hypersensible et une fille très douée sur les bras…ouais. En attendant le personnel de l’école ricane quand je réclame un saut de classe. Je crois que Maelle va changer d’école. Je lui ai appris à lire mais ça ne suffit pas à tromper l’ennui et pire, ça a monté les enseignants contre elle : ils y voient une gamine « poussée », un « singe savant »…elle apprend d’elle-même, je ne la force pas. Elle veut apprendre !
De toute manière j’ai une opportunité de carrière en Allemagne. A nous Berlin, et à elle l’école des petits allemands !!
Et avec les chevaux (oui, elle monte), c’est amusant…elle leur parle, les grattouille…même aider à nettoyer les boxes, leur décrotter les pieds, ça ne la rebute pas. Moi, j’aime les bêtes mais franchement, un cheval, c’est grand, puissant, bête et ça pue…comment peut-elle les apprécier ? Et pourtant…c’est une vraie passion.
Elle en dessine, aussi, des chevaux. Elle a un sacré coup de crayon.

PS : J’entends Arthur revenir. J’espère que ce n’était rien, ces analyses.


18 mai 1998. Il est allongé dans son lit, calé par des oreillers, mais son visage creusé de souffrance conserve une incroyable dignité. En mai 1998, Arthur McWard en a assez de se battre contre ce cancer, si imprévu, si fulgurant. Les reins…il avait mal depuis quelques mois, il a consulté, verdict : un rein abîmé, verdict, des métastases, et un sursis, un délai. Comment réagir, quand on sait combien de temps il vous reste à vivre ? Comment réussir à embrasser sa femme, sourire à la gamine qui se jette dans vos bras en hurlant que papa, papa, le monsieur il avait une aguille, il t’a piqué ? Comment réussir à ne rien changer ? Tout change, doucement, les flacons d’analgésiques, les traitements curatifs, les visites de médecins, les opérations…les traitements palliatifs. Et cet homme, digne, dans son lit, devant sa femme et une petite fille blottie contre elle, aux yeux écarquillés. Cinq ans, Maëlle tend la main vers son père, lui saute au cou, lui offre un dessin. Elle a six ans, le soleil se couche sur les murs de la ville et leur terrasse orientée plein ouest. Petite, elle avait peur du crépuscule, croyait que le soleil ne se lèverait plus jamais. Petite, elle croyait au mythe d’Apophis qui veut avaler le soleil, du chat immense qui se bat pour que le Ré égyptien survive au passage dans le royaume de l’ombre et des morts. Aujourd’hui, sa crainte a disparu ; elle sait que le Soleil se lèvera de nouveau, et ainsi de suite, sa mère lui a expliqué cela en faisant tourner un citron autour d’un globe terrestre. Au petit matin suivant, Maëlle, qui aime tant le lever du soleil, l’admire depuis sa fenêtre, sur les toits de la ville, sans bruit, pour ne pas éveiller sa mère qui n’aime pas voir sa fille debout dès six heures du matin. Le soleil étincelle de tous ses feux, glorieux, se lève pour cette petite princesse qui l’idolâtre. Mais son père ne se lève pas. Plus.

Il faut apprendre à vivre à deux, avec ce fantôme dans leurs têtes, avec l’écho de paroles, de sourires. Il faut réussir à ne rien laisser paraître, sourire aux gamines qui l’observent à l’école comme si elle allait s’effondrer, avec une curiosité malsaine, sourire aux questions de la maîtresse, qui, en voulant faire preuve de délicatesse, après avoir annoncé l’évènement à la classe, la questionne. Sourire, sans répondre. Tais-toi, mais tais-toi, j’ai mal.


11 septembre 2001. De l’autre côté de l’Atlantique, deux tours vacillent sur leurs bases. Le monde aussi, les certitudes. Tant de gens retiennent leur souffle en regardant s’effondrer les Tours Jumelles, qui ont eu l’orgueil de se penser invulnérable par la magie de leur drapeau rouge et rayé. Mais ce sont plus que des tours qui s’effondrent, pour Maëlle. C’est son univers qui se délite. Le poste de télévision est allumé dans le commissariat, elle voit son grand père la rejoindre, appuyé sur le bras d’un policier, son grand père qui est le dernier vivant de sa génération, dans la famille, et qu’une dégénérescence nerveuse mine doucement, mine lentement, jusqu’à faire trembler les fondations de son être. Le policier tend la main à Maëlle, qui consent à détacher ses yeux sombres des images de la télévision, et le suit jusqu’à une pièce glacée. Frissonnante, elle voit une forme. Le policier est mal à l’aise ; d’ordinaire on ne demande pas ça à une gamine, mais ce vieil homme n’a plus toute sa tête, et les règles sont strictes…alors il demande rapidement à la petite, gêné, choqué, révulsé :
« Alors ?
- …Oui. »
Oui. C’est bien sa mère sous ce drap noir. Attaquée, détroussée par un voleur quelconque, encore une de ces racailles, dira le commissaire qui observe, désolée, la petite. Il ajoutera qu’il faut s’occuper d’elle, elle ne saisit, elle si vive d’ordinaire, pourquoi s’occuper d’elle, et maman, elle ne peut pas ? Et grand-père ? Sur l’écran, les Tours Jumelles s’effondrent, s’effondrent dans un abîme sans fin…

L’orphelinat. Un beau bâtiment de briques beiges, où la conduisent deux hommes, avec une valise, des vêtements, des peluches. Tout le reste, a promis le notaire, serait entreposé jusqu’à sa majorité, et alors, elle pourrait tout récupérer. Maëlle a hoché la tête, elle est trop petit pour comprendre tout ça. Elle n’avait pas de parrain ni de marraine alors, un ami de ses parents sert de tuteur, mais il est pauvre, il ne peut pas assumer une enfant, alors, il lui tient la main devant ce joli bâtiment de briques beiges. Dedans, des enfants rient. Elle entre. La suite est floue. Une nurse, des jeunes femmes, et des hommes aussi, accueillants, la regardant comme un animal à apprivoiser. Ils lui laissent un lit isolé pour le début, où elle se tapit, petite chose effrayée, et surtout, perturbée ! Et puis, la curiosité de l’enfance reprend le dessus. Elle ferme les yeux dans la cour, pour ne pas voir les tours immenses qui la surplombent, puis va vers les autres, joue au ballon, à la marelle et chante des comptines en bondissant par-dessus l’élastique. Chute, se blesse au genou, gémit pour la forme quand on passe l’antiseptique sur la plaie, arbore fièrement un pansement. Défend son ballon, farouche, aux côtés d’une autre petite fille, contre deux garçons qui aimeraient se l’approprier, et discute, le danger écarté, avec la gamine de son âge. Elle s’appelle Leïla, a six mois de plus qu’elle, apparemment. Pourquoi Leïla est-elle ici ? L’enfant la regarde et finit par raconter une histoire décousue. Maëlle hoche la tête sans tout saisir. Elles sont trop jeunes.

Eté 2006. Il faut bien sortir ces gosses ! Alors, l’école où sont scolarisés les petits de l’orphelinat les emmène se promener dans la ville, le parc, jouer avec d’autres enfants à l’occasion d’une fête dont Maëlle n’a pas retenu le nom. Avec Leïla, sa grande amie, et Gwenola, une autre bonne copine, elles gambadent dans l’herbe, enchaînent les bêtises. Sourient aux garçons, aussi, car leurs quatorze ans commencent à les démanger, à l’approche de l’adolescence. Leïla et Maëlle improvisent une petite danse au milieu des herbes. L’air sent bon le soleil, la joie de vivre, mais les blessures restent vives dans les yeux des enfants.

Octobre 2008. Maëlle a quinze ans, et se tient raide comme la justice face à un couple tout ce qu’il y a de plus commun. La femme, aux cheveux châtains, tient le bras d’un mari déjà poivre et sel, qui semble vaguement embarrassé. Finalement, il tend la main vers la jeune fille, qui recule imperceptiblement. Le psychiatre de l’établissement, en blouse blanche, épie la scène. Il entraînera ensuite le couple un peu plus loin pour leur parler. Le couple. Bien sous tous rapports, bonne situation familiale, un homme connu pour sa probité dans son travail, conseiller en placements financiers de son état. Une jeune femme dont le désir d’adopter est bien réel, professeur de faculté, passionnée de sciences et enseignant la biologie à des étudiants bien sages et gentils, un petit couple tout ce qu’il y a de plus correct. Tyler et Emily Seegan, couple au bonheur parfait, mais sans enfant…voilà pourquoi ils passent à l’orphelinat, pourquoi ils ont parlé aux enfants qui se pressent autour d’eux, avides de quitter cette morne place où il ne sont pas maltraités, mais où ils s’ennuient, voilà pourquoi Maëlle se tient face à eux. Ils ont jeté leur dévolu sur elle et elle, elle n’est pas contre. Elle est donc là, ils se regardent en chiens de faïence, eux ayant peur de l’effaroucher, elle se demandant ce qu’il convient de dire. Finalement, ils ont des papiers à signer, ils s’écartent, elle recule, s’enfonce dans les couloirs, rejoint Leïla.
Leïla l’attend, assise sur son lit, car elles partagent une chambre depuis quelques mois, et depuis quelques semaines, l’amitié entre elles a laissé la place à une complicité proche de la tendresse et de l’intimité. De la sensualité, même, car elles ont l’âge où elles découvrent ces gestes qui procurent du plaisir. Gwenola n’est plus là, elle a été adoptée. Et Maëlle, si elle aime Leïla, se refuse à laisser passer sa chance de sortir d’ici ; son amie de toujours approuve, mais en voyant les valises entassées devant la porte, une larme coule sur sa joue, reflet de celle qui chatouille Maëlle. Les deux se dévisagent, puis Maëlle s’assied sur le lit à côté de Leïla et la serre contre elle, sans rien dire. L’embrasse. La gorge bien trop nouée pour articuler ne serait-ce qu’un malheureux mot. Elle se sent coupable de la laisser…mais Leïla lui ordonne de partir. La prévient que, si elle refuse sa chance, elle, Leïla, ne lui adressera plus jamais la parole. Alors, c’est pour ne pas la perdre que Maëlle accepte de la quitter, après avoir échangé mille promesses, mille espoirs et rêves et autant de mots ou de liens.

Nouvelle vie, nouvelle maison. Nouveau lycée. Maëlle, après avoir erré comme un chat perdu, s’adapte doucement aux us et coutumes du lieu. Les deux premiers mois sont glissants pour tous mais très vite, chacun reprend ses marques. Le couple goûte le plaisir de la vivacité de la jeune fille qui retrouve ici l’ambiance chaleureuse de sa famille perdue. Au lycée, elle se fait des amis. Intelligente, et tous le sentent, elle se cache, demeure dans la norme de peur d’être la cible de jaloux, mais sa gentillesse la rend populaire. Elle continue à voir Leïla, qui se sent seule, qui semble si triste…elle a bien demandé aux Seegan de l’adopter, mais ils ont refusé. Ils n’en ont pas le temps, pas les moyens. Jusqu’au jour, un an après son adoption par les Seegan, où Maëlle pousse la porte de l’orphelinat, crie le nom de Leïla dans le parloir. Leïla n’est pas dans le parloir. Et quand elle interroge les employés, elle apprend que Leïla n’est même plus dans le bâtiment. Mais dans cette grande zone ouverte qui se trouve derrière le parc. Cet endroit où, anonymes comme les pierres, se dressent mille stèles, d’indigents enterrés sans grande pompe, de suicidés ou trucidés retrouvés ici et là. La chambre n’a pas encore été attribuée à un autre enfant. L’odeur de Leïla est là, ses effets personnels, ses affaires, des dessins et des textes qu’elle lui avait montrés. Il reste encore un flacon de parfum dans la salle de bains, son nécessaire à maquillage, et les marques de sang dans la baignoire. Il aura fallu du temps à Maëlle pour comprendre ce qui s’est passé ; elle ne parviendra jamais à savoir pourquoi. Et quelle importance d’ailleurs ? Puisque Leïla n’est plus là.

Et elle laisse tomber. Elle a mal et, comme un animal blessé, montre les crocs ; sur qui reporter sa douleur ? Maëlle se souvient des Seegan, qui ont refusé d’adopter Leïla. Et d’elle-même, qui n’a rien vu venir. Alors, au lycée, elle ne veut plus rien faire. Elle se fiche bien de l’avenir que lui peignent les professeurs excédés, elle végète en fond de classe et passe pour une cancre. Elle ne veut plus être elle-même, elle cultive l’art de la répartie, l’art de la méchanceté gratuite et de l’agression. Ses amis la laissent de côté et elle les laisse tomber, file vers les cancres, ceux qui jouent avec leur cutter en ricanant après les sixièmes. Noue des relations peu recommandables, d’abord timide, mais peu à peu, l’attraction de la spirale se fait plus forte, et elle est désormais des leurs. Elle fait le mur, parfois, et traîne dans les rues aux côtés de jeunes crétins irrespectueux des lois, violents, elle enchaîne les bêtises, et les Seegan ne savent plus quoi faire. Ils la traînent chez des psys, ils l’envoient voir des médecins, elle renâcle, elle fuit ou déstabilise les professionnels, car elle n’est pas idiote et joue à « qui manipulera l’autre ». Le plus souvent, c’est elle. En un an, elle est devenue autre. Parce que Maëlle Seegan, celle qu’elle était, l’enfant passionnée de littérature, de musique, cultivée, gentille, vit encore, mais planquée, protégée par cette nouvelle carapace. Et si la douleur reste, elle peut l’attribuer à d’autres causes. Elle se fait un film de jeune fille brimée par la société, incomprise. Elle a conscience au fond d’elle de ce que cette attitude a de stupide et d’autodestructeur. Elle s’en moque. Elle continue, et ses parents se désolent de la voir devenir ainsi, que va-t-elle faire de sa vie, cette gosse qui n’a même pas le moindre projet ?

Et puis, elle continue à monter. Le cheval, l’aïkido sont ses échappatoires…mais les petites gamines propriétaires ne l’aiment pas, elle qui a un bon feeling avec les chevaux et surtout les jeunes…et se tient résolument à l’écart des humains ! Elle ne vient pas glousser avec elles, ne critique pas ce qu’elles critiquent, n’a pas leur look…n’est pas des leurs. Et régulièrement, ça explose. Et régulièrement, elle claque la porte. Et revient, car le cheval, c’est plus fort que la drogue. Au dojo, elle y va, mais son professeur ne la laisse monter sur le tatami que quand elle accepte de se soumettre aux règles. Et quand elle le fait, elle ne regrette pas…c’est un apaisement. Même si parfois elle a du mal à se laisser mettre par terre par ses partenaires, la fluidité, l’harmonie qu’elle commence à pressentir en équitation comme en aïkido lui font du bien.
Et puis il y a son professeur, visage familier, référent, bienveillant. Une repère, encore. Et puis il y a ce cheval, un beau bai, grand, osseux, un peu nouille, mais gentil. Avec de la bonne volonté. Elle ne peut pas le laisser ! Alors elle vient, elle prend sur elle et elle se coltine le monde, les gamines glousseuses, tout ça pour enfourcher son adorable et adoré Ardent, le hongre un peu nounouille, le gros nounours affectueux.

Elle fait quelques jolies rencontres. Des petits amis absolument pas fréquentables. Et un type taillé comme une armoire à glace, dans qui elle rentre littéralement un soir où, tabassée par deux types outrés de sa conduite, elle fuit droit devant elle. Demetrius, dit-il s’appeler. Elle se débat, il ne lui laisse pas le choix, il l’interroge, il décourage fortement les agresseurs de la jeune femme qui, voyant l’homme dont la stature les domine, filent. Elle finit par le remercier, et c’est déjà comme s’il avait pénétré sa carapace de dureté.

Elle tourne dans les rues alentours, d’autres jours, pas tout à fait au hasard, et un jour le revoit, l’invite à prendre un café avec de l’argent piqué dans le porte-monnaie de son père adoptif, parle encore. Se découvre des points communs avec ce solitaire à qui suffit la compagnie de son chien et de son furet. Ses copains passent dans la rue et ricanent, hé, Maelle, tu dragues ou quoi ? T’aimes bien le genre poilu ? Ouarf ouarf ouarf. Elle tourne sa cuillère dans son café sans répondre, les regarde d’un air morne et ennuyé. Ils finissent pas s’en aller et elle en est heureuse. Finalement, ils n’ont pas grand-chose d’amis, ce sont surtout de grands cons avec qui elle trompe sa solitude.
Et, toute surprise de sa petite prise de conscience, elle pique du nez dans son café, songeuse, toise son reflet, puis elle demande à Demetrius en quoi consiste son métier. Non, sérieux, vous dessinez ? Pour de vrai ? C’est votre boulot ? Vous dessinez pour des groupes de musique ? Ce doit être drôlement sympa, de pouvoir vivre de ses crayons, mais…ce n’est pas trop difficile de dessiner sur commande ?
Et puis elle commande un petit quelque chose à manger, car la discussion s’éternise, elle mâchouille son pain au chocolat et finalement le regarde dans les yeux. Maelle, toi qui mords avant d’être attaquée, toi qui grognes après tout le monde, qui repousses les bons sentiments, car ils pourraient érafler ta carapace, Maelle, c’est ta voix qui est si timide et hésitante ?
Je voulais vous…te remercier pour la dernière fois.
Et, en son for intérieur : te remercier pour m’avoir rappelé que le monde a de l’intérêt. Et que les grands cons, de l’autre côté de la vitre, ils ont bien moins d’intérêt que le monde…hé, dessinatrice, c’est une idée de boulot pour moi.

Demetrius, elle finit par l’appeler Dee, et même Dee-kun, quand elle est vraiment contente de le voir. Elle finit par être invitée dans le repaire de cet homme qui ressemble à un cliché sorti droit d’un livre sur les metalleux, et y découvre quelqu’un d’intelligent et de sensible, ce quelqu’un qu’elle avait entrevu sous la grosse. Elle sympathise avec ses animaux, elle s’assied sur un fauteuil et le regarde dessiner ses pochettes d’album en silence. Pourquoi babiller ? Le silence leur suffit. Ou bien elle savoure, comme lui, cette musique qui a son élégance et son charme, tout en se plongeant dans un de ces romans dont le style lui plaît, comme à lui. Elle se remet au dessin, elle qui avait laissé de côté ses pinceaux à la mort de Leïla, et quelquefois, elle s’amuse même à essayer de faire, de son côté, les pochettes que lui réalise. Pour le plaisir. C’est une notion qu’elle redécouvre.

Dehors, elle est la même, la sale gosse, l’adolescente stupidement blasée, qui refuse d’admettre qu’il y a un problème. Elle n’a jamais parlé de Leïla à Dee, un peu de ses relations avec sa famille, sans plus, et il l’écoute sans la juger. C’est pour ça qu’elle lui parle en fait. Quelquefois, aussi, elle cherche les limites. Elle continue à s’autodétruire et à chercher à le faire, malgré cette nouvelle camaraderie. Dee, c’est son grand frère, c’est son confident, c’est un peu son pilier, protecteur, et en même temps son garde-fou mais seul il ne suffit pas à la tirer du gouffre, puisqu’elle y plonge d’elle-même. Mais à ses côtés, c’est comme une accalmie où la petite fille blessée en elle peut enfin respirer et revoir le jour, et où elle peut abaisser son bouclier puisque, près de Dee, la douleur s’estompe aussi. Personne ne l’a sauvée, puisqu’elle ne veut pas l’être. Mais elle ne s’est pas complètement perdue, et cette dualité la gêne encore plus.

La dernière année de lycée, elle n'a rien à y faire, elle n'y fout rien. Ses parents adoptifs, elle ne leur parle plus. Ces derniers temps, grand frère Dee ne parvient plus à occulter complètement ce poids sur son coeur, qui lui serre la gorge, et elle, elle ne veut plus se battre. Elle en a marre. Que quelque chose se passe, avant que je n’étouffe dans cette gangue de médiocrité !


WE'RE DISPOSABLE TEENSet vous ?

PSEUDO
puf ♦ Chamallow.
découverte ♦ Ben, c’est épouse qui m’a pubbé.
avis ♦ Trooop sombre *fail*
Plus sérieusement, je ne l’ai pas des masses parcouru, quand on déboule dessus ça rend bien et surtout la PA, qui roxxe, et niveau règlement c'est court et clair, pareil pour le concept: ça se lit et se comprend bien.
code ♦ Batman VS Jokeeeer, et c’est l’noir qui gagne \o/
autre ♦ *__* ça y est, je l’ai fait !!

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MessageSujet: Re: Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)    Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)  Icon_minitimeJeu 26 Avr - 11:27

Welcome here, Chamallow ! I love you
J'aime beaucoup ton personnage, j'ai flashé sur son caractère xD *-*
Je suppose que tu as fini, mais j'attends confirmation de ta part pour valider !
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Amanda Cockscomb

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MessageSujet: Re: Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)    Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)  Icon_minitimeJeu 26 Avr - 15:13

Bienvenue! :D Il fait un peu peur ce perso quand même :b
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Macy Greats.

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MessageSujet: Re: Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)    Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)  Icon_minitimeJeu 26 Avr - 16:03


    Hey, Chamallow ! :50:
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Maelle Seegan

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MessageSujet: Re: Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)    Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)  Icon_minitimeJeu 26 Avr - 18:26

Oui oui oui, fini!
Ben, vous savez, elle a eu le temps d'être peaufinée la p'tite Maëlle, je l'ai pas beaucoup joué sur Huli, c'est pour ça que je la "ressors" ici, mais j'y pense depuis, owh. Je me souviens, en cours de physique en début d'année, je prévoyais son caractère quand la prof corrigeait les TD d'optique, soit le premier chapitre de l'année^^
Mais merci. Ouais, c'est vrai, elle est flippante. Le truc c'est que même elle elle sait pas trop où elle en est, et elle veut suuuurtout pas le savoir ni l'admettre.
Merci à tous...là par contre je ne sais pas qui est qui x)
D'ailleurs, c'est une suggestion. Prévoyez dans la partie qui s'affiche sous l'avatar un champ "PUF"...pour qu'on sache un peu qui a quel PUF...
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MessageSujet: Re: Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)    Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)  Icon_minitimeJeu 26 Avr - 19:58

Ok, je te valide alors ! Et je te réserve un lien :)
Oui, bonne idée, je vais en parler à Momo quand elle reviendra !
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MessageSujet: Re: Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)    Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)  Icon_minitimeJeu 26 Avr - 19:59

WELCOME TO THE JUNGLEvalidation

BIENVENUE À
maelle seegan
♧ ELEVE
« a mission every night, it's the bomber ! »

Bonjour et bienvenue sur The Sound of Truth !
Maintenant que vous avez fini votre présentation, vous êtes validés et vous pourrez jouer. Toutefois, nous vous demandons de bien vouloir venir recenser votre avatar ici avant d'être lâché en liberté dans la nature. (: N'attendez pas qu'on ai rentré votre avatar pour jouer toutefois, on va pas chipoter pour si peu.
Vous avez maintenant la possibilité de vous lancer directement dans le role play ou bien ouvrir un topic de relation ici, ou tout bêtement un topic de topic, aussi paradoxal que ce soit, à cet endroit .
Bon jeu ! (:

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Nathaniel S. Turunen

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Nathaniel S. Turunen





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MessageSujet: Re: Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)    Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)  Icon_minitimeDim 29 Avr - 11:56

*balance Dee sur Maëlle en gueulant*
FEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEMME I love you
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Maelle Seegan

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MessageSujet: Re: Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)    Maelle Annick Enora Seegan (née McWard) - Un roi sans divertissement est un homme plein de misère (Pascal)  Icon_minitimeLun 30 Avr - 17:29

*réceptionne Dee et lui fait un groooos free-hug*
EPOUUUUUUUUSE QUE J'AIIME
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